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| | L'histoire du Comte Thomas [RP1 | |
| | Auteur | Message |
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Bruno T. Admin
Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 13/10/2007
| Sujet: L'histoire du Comte Thomas [RP1 Lun 12 Nov - 21:59 | |
| Chapitre premier: l'arivée, « Il est le dernier d’entre eux. Leurs force provient des Einherjars, des Valkyries provient leur jouvence et leur vitalité,des Huldrefolks (elfe) provient leur raison et leur ruse. Par la mort, il sera uni au destin de son monde. Mais il reviendra accompagné des 12 bénis c’est alors que les Neufs monde et leurs guerriers seront de retour et le monde tremblera, deviendra rouge et il sera parcouru par les cendres et les flammes. »
1er dimanche du mois des morts, Comté de Dalhem, château de Dalhem,
Cela faisait un petit temps que le guetteur suivait du haut du portique cette tache de poussière sur la route provenant du village de Richelle et se dirigeant vers le château comtal. Elle n’était plus très loin, à présent et il aperçu une petite troupe composé de 3 cavaliers montant des chevaux rapides. Il reconnu le blason de la Famille De Gueldre porté par l’un des cavaliers sur la hampe de sa lance,un blason à fond plein azuré meublé d'une tête de cerf, cela ne pouvait être qu’un héraut apportant un message au comte. Mais en c’est temps troublé où les brigands écumait les routes, il valait mieux resté vigilants et il envoya un garçon porté un message au sergent d’armes d’envoyer une troupe intercepté ces cavaliers et si c’était vraiment des gens de la maisonnée des seigneurs wyzen, de les escorté jusqu’au château.
La petite troupe traversa le pont-levis avec à sa tête Jarlen, le bras droit du comte et un excellent guerrier, car il remportai depuis près de cinq ans toutes les compétitions de lutte et d’ecrime organisée par le comte et seul le comte réussissait à le battre. Cet homme avait une forte carrure et dépasait, tout comme le comte, d’une tête et demi la plupart des autres gens. Il avait les cheveux longs et rouges comme le feu et même lorsque l’escorte intercepta la petite troupe, le guetteur savait encore parfaitement le distinguer.
Quelques minutes plus tard, la petite troupe traversait le pont-levis et commença l’ascension du château.
Le héraut mis pieds a terre et ordonna qu’on le conduise immédiatement auprès du seigneur local. Jarlen réprimanda ce manque de politesse et imprima une claque dans le dos du héraut qui tomba à la renverse.
-A ces hérauts, ils sont bon à donner des ordres mais au moindre coup de vent il tombe comme des feuilles. Les sourires moqueurs naquirent sur les gardes de l’escorte. Je vous conduirais auprés du comte personnellement quand il m’en aura donné l’ordre et pas avant héraut et si votre impudence est aussi grande que votre fébrilité alors rentré chez vous, avant qu’un accident fâcheux ne vous arrives.
Sur ces mots, les gardes escortant le héraut sortirent leur épée hors du fourreau mais les gardes et Jarlen avait déjà dégainé ou encoché une flèche sur leur arc.
-Si vous voulez mourir continué ainsi, aussi non donner nous vos armes. Jarlen était sur le qui vive, car deux semaines plus tôt, on avait tenté d’assassiner son maîstre et amis. Les gardes déposèrent leurs armes dans un regard apeuré, car il n’avait jamais vu des hommes réagir aussi vite.
-Une cloche retentit soudain de la tour de guet et un lourd grincement et grondement se fit entendre. Les hommes du comte remontait le pont-levis et descendait la herse aux portiques du château, cet alors que le héraut remarqua que ce château semblait prés à tenir un siége pendant plusieurs mois. Ainsi donc, les rumeurs sont bien fondées, le comte est un homme prévoyant mais aussi très spartiates, ces hommes doivent s’entrainer continuellement pour possédez une telle vivacité et une telle force d’esprit. Le héraut sursauta lorsque le claquement des contre poids se fit entendre et il demanda à ce qu’on le conduise à sa chambre, ou la taverne la plus proche. Jarlen donna un coup de tête et les quatre soldats escortèrent ces ôtes au château. A la guerre il ne sert a rein de perdre en palabre alors qu’un signe suffit. Ces hommes étaient vraiment incroyable et montraient à quel point cet adage pouvait être véridique. Et le héraut suivi le cortége.
Jarlen monta au donjon à le recherche du comte, il houspilla un serviteur, qui lui dit que le comte était monté à l’observatoire tout en baisa la tête en signe de salut et de respect. Bien que n’étant pas natif du comté, Jarlen avait réussi à ce faire accepté comme chef auprès de ces hommes et ils le considéraient comme un bon maitre, mais qui savait mener des hommes à la dure si il le souhaitait.
Il escalada les marches de l’escalier une à une en repesant au moment où il avait rencontré le comte. Il s’en était fallut de peu pour qu’il ne connaisse jamais cet homme particulier. Il arriva au sommet de la tour qui était surnommée l’observatoire car de la haut l’on pouvait apercevoir tous les points stratégiques du domaine et du comté, mais aussi les abords de la principautés de liéges et des états bourguignon où les heurts et les rixes entre troupes était fréquent. En plus des escarmouches entre la rébellion et les troupes de l’évêques, que l’on comte soutenait secrètement. Car le comte n’aimait pas que le Vatican mette sont nez dans la politiques et encore moins qu’il gouverne un pays si beau et si riche.
Il approcha, le comte parlait à un soldat,
-Mon seigneur, il y a en bas un messager envoyé par vos coussins qui désire vous parlez, apparemment cela est important. - Pas aujourd’hui Jarlen, je suis las de tous ces tracas. Te souviens tu des moments où l’on croisait le fer dans ces plaines et où nos amis tombaient, ce temps me manque, car il ne fallait pas penser à toutes ces frivolités de la politiques, ont pensait à sauver nos vies. -Oui sir, je m’en souviens et je le regrette aussi, mais je ne regrette pas le jour où vous m’avez sauvé alors que ma troupe était perdue. Vous en souvenez vous ? - Oh oui je m’en souviens et j’y ai même laissé un souvenir, il contempla sa main droite ou il manquait une phalange au majeur. Que diriez vous de venir diner ce soir ave votre épouse, ma dame aime sa compagnie et viens aussi avec ton fils, j’ai hâtes de voir l’évolution de son apprentissage.
Jarlen parut troubler, par ce que disait son maitre, était il vraiment las, un homme tel que lui est toujours sur le qui vive, cela ce pouvait que le comte laisse tomber après tant d’année passé à cultiver un art ancestral que beaucoup de guerriers qui se dise chevaliers ont oublié ?
-Ce sera un honneur que d’être à votre table mon seigneur. -Jarlen nous sommes amis, alors appelle moi par mon nom, sa me ferait tant plaisirs après toutes ces années. -Oui mon sei… Oui mon ami, je vais essayer.
Et Jarlen s’en alla. Laissant le comte contemplé le paysage, les yeux perdu dans les souvenirs de batailles, de gloire mais aussi de peine, que préparait-il, allait-il s’opposer ouvertement au prince-évêque ? Et tout en retournant à la partie du donjon qu’il occupait avec sa dame et son fils, il se souvint aussi de ces moments glorieux et une larmes de tristesse naquit au coin de son œil. C’était le bon temps, le comte a raison, ici je ne fias que casser du bleu et les autres me craignent, ce n’était pas comme sa sur le champ de bataille, ou ces amis le surnommait Jarlen le taureau. Mais ce temps là était passé et ces souvenirs pourrissaient en même temps que ces amis dans le cimetière jonchant la plaine d’azincourt.
Soudain il aperçut le héraut fouiné prés du couloir amenant au appartement du comte. Il se cacha dans une alcôve prés d’une porte. Il attendit …
Ce château est vraiment splendide, prévu pour la guerre mais chaque décoration à sa place sans surcharger l’atmosphère tout en conservant le but premier de cet édifice, celui d’être une place forte. Il lavait déjà remarqué ce style en traversant la ville ou chaque édifice avait sa place s’incluant parfaitement dans une trame plus complexe assurant au défenseurs un parfait lieu pour repoussé d’éventuels assaillant. Car personne depuis deux cent ans n’avait réussi à passé les murailles de la cité. Soudain le héraut se crispa, il sentit un objet froid et coupa appuyer sur sa jugulaire te son bras se tordit dans une position qui empêchait tout mouvement. Il ne voyait pas qui l’immobilisait mais il reconnu sa voix quand elle lui posa cette question : « que faites vous ici, l’entrée est interdite en dehors des gens du château ». C’était Jarlen, décidément cet homme était vraiment égnimatique, comment avait-il fait. Il répondit avec empressement en craignant que cet homme n’appuie trop fort sur sa gorge.
-Je me demandais si le comte pouvait me recevoir.
-Pas aujourd’hui, j’en ai bien peur, il est occupé. Garde, emmenez cet homme au cachot, une bonne nuit de sommeil, lui ôtera toute envie de mettre son nez là où sa ne le regarde pas.
Deux gardes aux épaules larges et possédant une nuque de taureau apparurent. Il portait une livrée bleu et rouge, couleur du comté, rouge et bleu, cachait une cuirasse finement confectionnée et décorée par de fins ciselages montrant un lion dressé sur ces pattes arrière. Ces soldats étaient armés de deux lances, mais la pointe ressemblait plus tôt à une épée légèrement incurvée et à un seul tranchant, ils avaient aussi à leur coté une épée batarde, et dans leur dos étaient attaché une épée à deux mains. Mais qui était donc le comte pour possédé de tels soldats, cette pensée fit frémir le héraut alors que ces deux gardiens, le prenait par les bras et le traînait en direction du cachot.
Jarlen, regarda ce curieux personnage qui était entraîné par ces hommes vers les cachots, au moins sa ne lui fera pas de mal, une nuit au frais, on ne leur apprends plus la politesse à ces enfants. Il arriva dans ces appartements et il y trouva son fils en train de s’exercer à l’Art poétique. Il suivi avec une rigueur implacable l’enseignement dispensé par le comte : « pour être un bon soldat, il faut savoir ouvrir son esprit au monde tous en étant concentré sur ces gestes. Mais pour être un bon chevalier, il faut avoir l’esprit ouvert et être concentré sur ce qui nous entoures, il ne suffit pas de posséder la force des muscles, car tu ne feras que trancher du bois. Tandis que si tu utilises ta force avec ton esprit et que tu sais pourquoi tu tailles le bois de cette façon, tu sauras tout faire. » Ces phrases résonnait encore dans l’esprit de Jarlen et lui rappelait que l’apprentissage ne cessai jamais, car il y avait toujours quelque chose à découvrir où sur lequel ouvrir son esprit.
La soirée ce passa, normalement et en fin de repas, le comte demanda ce que le messager voulait lui transmettre et de combien de personne il était accompagné. Jarlen, lui expliqua ce qui c’était passé en débit de soirée, et ce qu’il avait fait au héraut. Le comte sourit, ah ces hérauts, ils se prennent toujours pour des personnes importantes mais il s’effondre aussi vite qu’un château de cartes quand on souffle dessus, « Tu as bien fait mon ami, demain matin amène le à l’exercice et j’aviserais après l’entraînement. » Soudain, un bruit de corne se fit retentir dans la forteresse, un garde surgit dans la salle où ce trouvait le comte et Jarlen. C’était Mandrab, un vieux sergents, qui avait refusé de déposer son épée et qui était maintenant devenu le maitre de camp du comte. Il paraissait énerver ou anxieux, certes les mois passé ne furent pas de tout repos, mais cela faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu d’incident dans l’enceinte même de la forteresse.
-Sir quelqu’un c’est introduit dans la forteresse, il a tué deux gardes avant de se dirigé vers le cachot, mais il fut pris. Hélas, il ne parlera plus il s’est empoisonné.
Jarlen, se leva d’un bond tout en renversa sa chaise et sa coupe d’hypocras. « Sergent allez cherché immédiatement l’escorte du héraut et si il le faut tirer les hors de leur rêve. » Puis il se retourna vers le comte dont le visage montrait qu’il réfléchissait aux derniers événements de la soirée. « Mon seigneur, ces évènements sont sûrement liés, cet homme devait empéché le héraut de parler. »
Dernière édition par le Lun 12 Nov - 22:04, édité 1 fois | |
| | | Bruno T. Admin
Nombre de messages : 30 Date d'inscription : 13/10/2007
| Sujet: Re: L'histoire du Comte Thomas [RP1 Lun 12 Nov - 22:00 | |
| Sur ces mots, Thomas, se releva et secoua la tête, tout en parlant :
-Comment son escorte aurait-elle été avertie, non, cet homme devait être au château depuis longtemps. Sergent, fouillez le château de fond en comble et faites sonnez le rassemblement, que chaque gens de cette forteresse rejoigne son lieu de travail et faites le comptes. Jarlen te souviens tu de cet assaut sur cet avant poste français avant la bataille de crécy ? Te souviens tu de notre ruse ?
-Mon seigneur je m’en souviens mais quel rapport avec ceci ?
-Tout à un rapport, cet homme n’était pas seul, il avait un complice et ce qu’il a fait devait servir de distraction pendant que son ou ses complices accomplissait leur tache. Enfin c’est ce que je crois, je vois mal la maisonnée des Wyzen tenter quelque chose contre la notre, il n’y trouverai aucun intérêt et sûrement pas quelques affaires bénéfiques et propices pour eux.
En effet, cet famille était une branche cousine à la sienne il ne tirerait aucun bénéfice à entrer en conflit avec sa maisonnée.
-Sergent faites ce que le seigneur Jarlen a dit et donnez mes ordres aux gardes.
Quelques heures plus tard, le château venait d’être totalement fouillé et rien ne paraissait suspect, aucune serrure et porte n’avait été forcée, les armes étaient toujours là à leur place et aucunes armes spéciales qu’il utilisaient n’avaient disparu ou été remplacée par une copie. Tous le personnels de maison et les gardes répondaient à l’appel, aucune personne manquante. Jarlen, trouvait cela bizarre que rien ne manque et que tout le monde soit présent. Quatre de ces meilleures hommes apparurent dans l’encadrement de la porte principale escorta les hommes qui étaient venu quelque heure plus tôt avec le héraut. Ils avaient été tirés hors du lit à voir leurs états, il était à moitié habillé, décoiffé et leurs yeux étaient toujours brumeux, comme quelqu’un qui émerge du pays des rêves. Apparemment ils ne comprenait rien à la situation et ils ne suivaient ces hommes que parce qu’ils n’en avaient pas le choix. Jarlen accosta les gardes et les accompagna jusqu’à la grande bibliothèque où le comte se retirait toujours quand il avait besoin d’être seul.
Au même instant, un homme sauta par-dessus la muraille est et tomba dans la douve, pas de risque qu’on l’entende, il avait assommé les gardes et les guetteurs de se tronçon. Il rejoignit la rive et attendis, quelque seconde plus tard deux silhouettes émergèrent de la pénombre, cela n’était pas logique, le plan convenait qu’il soit rejoins par Ivnor et qu’il parte a cheval vers le Nord, au lieu de cela il y avait ces étranges personnes qui était apparues. « C’est fait ? demanda l’ombre de droite » « L’homme au visage apeuré par ce retournement de situation répondit qu’il n’avait pu atteindre la cible, car elle était trop bien gardée. » « Alors meurs, répondit celle de gauche » Il eu a peine le temps d’esquisser un geste qu’il s’écroula sur le sol dans un bruit sourd, un carreau passant au travers de sa gorge. Les deux hommes dirent en cœur, « Il n’y a pas de place pour les faible par mis nous et le résultat de l’échec est la mort. » Puis ils se tournèrent vers la forteresse qui regorgeait des activités de fouille et de recherche. Tu auras bientôt ton sort, Cœur de Feu Solitaire, il n’y a pas de place pour Toi dans le monde à venir.
Ils émirent un cri rauque et ce dirigèrent vers les bois de l’est, en glissant sur l’herbe, porté par le vent et entouré de brume.
Jarlen entra dans la bibliothèque, il trouva le comte penché sur un vieux manuscrit, marmonnant dans une langue inconnue de Jarlen. Le comte releva la tête, son visage était marqué par la fatigue, mais aussi par la tristesse ou le désespoir, son ami ne savait pas déchiffré ce qui marquait tant le comte et à son souvenir, c’était la première fois à son souvenir, qu’il voyait le comte dans un tel état de conscience. -Merci mon ami d’avoir fait si vite, gardes vous pouvez nous laissé. -Mon seigneur, que ce passe t’il ? Vous avez l’air las. -Je te dirais tout au moment venu. Ces deux personnes accompagnait-elle le messager ? -Oui, les gardes ont du leur lancé des sauts d’eau froide pour les réveiller. D’après l’aubergiste, ils ont bu comme des ivrognes sans régler leurs notes, mais il n’y a pas eu d’incidents. J’ai fait amené leur affaires si vous désirez les fouillez. -Mais que ce passe t’il ? Mon seigneur, pourquoi nous avoir fais levé mon ami et moi si tard ? -Jarlen explique leur les évènements de cette soirée. Pendant que Jarlen relatait ce qu’il c’était passé pendant cette journée, le comte se promena dans ce qu’il appelait son trésor. Cette bibliothèque regorgeait de nombreux volumes que sa famille avait acquis au cours de l’histoire, traitant de tous les sujets, les plus anciens écrits remontait bien avant la naissance de ce que les chrétiens appelaient leur sauveur. Mais celui qui lui était le plus précieux à ses yeux était un très vieux grimoire qui expliquait ces origines et ce qu’il était, son rôle dans l’histoire des hommes et de ce monde. C’était son pére qu’il lui avait remis ce livre à l’âge de 10 ans, au moment où le petit enfant qu’il était entrait dans le monde des hommes et leur monde violent. Il du apprendre par cœur chaque page du livre et son pére lui faisait réciter chaque soir. Il avait été soumis à un dur entraînement militaire, digne des spartes de l’antiquité. Mais il aujourd’hui il venait de comprendre la leçon que son père lui avait enseigné pendant 6 ans et le pourquoi de l’exil forcé dans ce pays étranger. Il allait peut être enfin comprendre pourquoi son père était mort si mystérieusement devant ses yeux. | |
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